Raoul de Montjoie Admin
Messages : 604 Date d'inscription : 05/05/2009
| Sujet: Accords diplomatiques entre France et Empire - Bouillon Lun 28 Mai - 14:15 | |
| - Citation :
- Traité de Non-Agression entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae (cercle francophone et néerlandophone)
Article Premier
I. Par le présent écrit, les deux parties se reconnaissent mutuellement comme nation établie et reconnaissent également chacun de leurs représentants dans leurs fonctions et charges qui leur ont été attribuées par chacun des autorités.
II. Les Cercles Francophone et Néerlandophone et Germanophone reconnaissent Levan III comme légitime souverain du Royaume de France, et Catherine Victoire d'Appérault, Marquise de Valois, Reyne de France, à qui il a délégué ses pouvoirs royaux, légitime souveraine du Royaume de France. Enfin, ils reconnaissent Marc Philippe comme Dauphin de France. Le Royaume de France reconnait LongJohnSilver Ier comme légitime Empereur du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae. Chaque partie reconnait la souveraineté des institutions de l'autre partie dans les domaines qui leurs sont attribués.
III. Toute nouvelle nomination, élévation, anoblissement, procédé par le souverain légitime ou ses représentants sera aussitôt reconnue par l’autre partie.
IV. Les cercles francophone, germanophone et néerlandophone s'engagent à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du Domaine Royal et au sein des vassaux du Royaume de France. Le Royaume de France s'engage à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du SRING.
Article Second
I. Par la présente, les deux parties signataires s’engagent à ne point interférer et ce par quelque manière que ce soit dans la gestion économique, politique, diplomatique, militaire de l’autre, sauf demande expresse, signée, scellée de celui-ci.
II. Il est établi que hormis cas de crise nécessitant fermetures des frontières, les citoyens françois et impériaux sont autorisés à traverser, voyager à travers les deux nations. Cette autorisation s'applique aussi aux membres des ordres de chevalerie reconnus par une des deux parties, et ne peut leur être retirée à cause de leur appartenance aux-dits ordres de chevalerie. Cependant, pour entrer en groupes armés sur le territoire d'une des deux parties, une demande devra être faite aux autorités concernées.
III. De même une ambassade accueillera toujours les émissaires françois en la Chancellerie Impériale et les émissaires Impériaux en la Chancellerie Françoise.
IV. Dans le cas où un Duché/Comté du Domaine Royal viendrait à déclarer une guerre à une province impériale, le Royaume de France s'engage à tout mettre en oeuvre pour rappeler la province à l'ordre. Dans le cas où une province impériale viendrait à déclarer une guerre à un Duché/Comté du Domaine Royal, le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à tout mettre en oeuvre pour rappeler la province à l'ordre. Dans le cas où un Duché/Comté du Royaume de France hors du Domaine royal viendrait à déclarer une guerre à une province impériale, le Royaume de France s'engage à ne pas lui prêter assistance. Dans le cas où une province impériale viendrait à déclarer une guerre à un Duché/Comté du Royaume de France hors du Domaine Royal, le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à ne pas lui prêter assistance.
Article Troisième
I. Ce traité est valable pour une période de six mois, reconduit de manière tacite au bout de cette période, sauf refus signé et scellé de l’un des signataires.
II. En cas de non-respect d’un des articles de ce traité, l’un des signataires en proclamera l’annulation par acte signé et scellé. Le traité sera alors jugé comme non avenant dès la réception par l’autre partie du-dit acte.
III. A tout moment, l'un des signataires peut demander l'annulation de ce traité. Il devra alors le signaler et en expliquer le motif à l'autre partie par acte signé et scellé. Le traité sera alors jugé non avenant une semaine après réception par l'autre partie du-dit acte.
Pour la Pairie et la Curia Regis, Juliano Di Juliani Grand Maitre de France
Pour les Ambassades royales de France, Arielle de Plantagenest de Dénéré Grande Ambassadrice Royale de France
Pour la Commission Impériale, Les 4 dignitaires impériaux:
Alandaros von Valendras Haut Connétable Impérial
Azalée de Cernex Rectrice Impériale
Cassandres de Sevillano Responsable de la CSI
Sirius de Riddemark Maréschal d'Armes - Citation :
- Traité Frontalier du duché de Bouillon
Nous, la Haute Autorité impériale, Nous, la Haute Autorité française, Nous, l'Héritier ducal de Bouillon,
Conscients de la nécessité de garantir l'inviolabilité du territoire du duché de Bourgogne dans l'objectif de garantir des relations apaisées entre le dit duché et ses voisins du Royaume de France et de l'Empire Germanique, et après moult débats passionnés,
- Ratifions ce document qui entend entériner le travail et la recherche de la Hérauderie Royale de France.
- Avons décidé le traité suivant :
Article 1. DESCRIPTION PHYSIQUE
En son méridion, partant de son gué de Pussemange, la frontière du duché de Bouillon trace une séparation entre les forets domaniales de Sedan (Champagne-Royaume de France) et les bois et forêts se succédant de Bohan, Huqueni, Muno, longeant les fiefs et villages du Ban d'Alle, de Corbion pour ensuite traverser le bois puis le village du Banel et rejoindre le Fond Jamais au sud de Muno, sis en le duché de Bouillon. Contournant Lambermont, lui aussi de Bouillon, elle trace une ligne montant au septentrion qui rejoint la Semois non loin de Cugnon, laissant hors du duché Quatre-arbres, Sainte-Cécile et la foret de Chiny qui relèvent du dit comté de Chiny. Longeant alors la Semois, elle délaisse Cugnon et rejoint à nouveau la foret domaniale d'Huqueni qu'elle laisse à sa gauche tandis qu'elle poursuit sa route au nord traversant le bois de Detoi, laissant à ses voisins Aubry sur Semois et Geripont. De là, elle fait un léger détour pour englober la seigneurie de Bertrix et ses appendances de Bohémont, Burhémont et Renaumont pour revenir longer le bois d'Otrouges et contourner Ochamps qui sont de Chiny, rejoindre Recogne qui est à Bouillon. Neuvilliers, Lamouline, Flohimont, Ourt, Bernimont, Wideumont, Remeau, Bougnimont, tous hameaux et village du duché de Bouillon croisent ensuite le chemin de la frontière, de même que les trois Freux et Jenneville. Suit alors un virage vers le Ponant, pour rejoindre Saint Hubert par le nord puis filer vers Mormont, Masbourg, Lesterny et revenir sur Grupont, toujours ducaux, tandis que Bure est délaissé à leur voisin. Tellin est la prochaine étape. La frontiere poursuit sa route le long du ruisseau qui de Tellin rejoint la Lesse par le nord, non loin de Belvaux. La frontière file alors au Ponant, passant entre Ave l'étrangère et Auffe la bouillonnaise, rejoignant ses comparses Wellin et Lomprez mais dédaignant Froidlieu et Honnay pour rejoindre Froide-Fontaine. Délaissant les enclaves de Gedinne sises en la seigneurie d'Orchimont appartenant aux voisins principautaires et ducaux et laissées à leurs bons soins, de meme que celles de Gembes et Porcheresse, elle longe Fays-Famenne pour atteindre Redu, sans prendre en considération Daverdisse. A hauteur de Sech'ry, elle longe alors la Lesse, rencontrant au passage Our, Be, Opont les bouillonnaises. Là, quittant le lit de la riviere, elle contourne le bois de la Grosse Haie, ignore Naomé et vise Saussur (Carlsbourg) la pairiale puis le moulin de Mitauge, suivi de Six-Planes pour atteindre la Semois à Vresse, toujours en terre de Bouillon. Coupant à travers le bois de Bohan, elle termine sa course là où elle l'avait commencée, à Pussemange, non sans montrer que Sugny est au duché.
Article 2 : DU RÉGIME DES ENCLAVES
Aucune enclave ne saurait être reconnue par l'une ou l'autre des parties dans le territoire voisin.
De ce fait, les territoires et fiefs relevant de la baronnie de Hierges sont reconnus comme faisant partie du Royaume de France (en terre Champenoise). Item que les terres de Sart-Custinne, Gedinne, Patignies, Malvoisin, Gembes, Porcheresse, Focant, Froidlieu, Lavaux Sainte Anne, Ave et Mochamps sont reconnues comme faisant partie du Saint Empire.
Article 3 : MAPPES
Pour illustrer leur propos et définir précisément le tracé de la frontière une carte a été établie.
Le Héraut d'Armes de Normandie - chargé de cette mission - s'est rendu sur place avec ses gens et a travaillé en intelligence avec les seigneurs et villes riveraines afin d'effectuer le bornage.
Article 4 : RATIFICATION
Ce Traité frontalier fixe une bonne fois pour toutes les frontières communes du duché de Bouillon. Ces frontières sont inaliénables de par les Lois Héraldiques et sous couverts d’icelle.
Fait en le Château de Dijon, le 20 avril 1459. Pour le duché de Bouillon, Messire Eusaias Blanc Combaz, Héritier ducal
Fait à Strasbourg, le 08 mai 1459 Pour le Saint Empire Germanique,
Sa Majesté Alveran 1er de Varagine Electus Romanorum Imperator et semper augustus
Fait en le Château du Louvre, le 4 Juillet 1459. Pour le Royaume de France; Sa Majesté la Reine Beatritz Castelmaure-Frayner,
Son Excellence Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France
Fait en la Chapelle Saint-Antoine-le Petit à Paris, le 4 Juillet 1459. Pour la Hérauderie de France ; Dame Perrinne de Gisors-Breuil dicte "Montjoye", roi d'Armes de France - Citation :
- Codicille au Traité Frontalier du Duché de Bouillon.
Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reyne de France, Duchesse de Nevers, Comtesse du Lauragais, Vicomtesse de Chastellux, Baronne de Chablis & de Laignes, Nous, Eusaias de Blanc-Combaz, Vicomte de Digoine & héritier ducal de Bouillon,
Attestons que, du fait du présent traité, le Duché de Bouillon intègre le Domaine Royal de la Couronne de France, et se trouve dès lors soumis aux règles héraldiques et nobiliaires qui y ont cours, icelles étant décrites dans le Codex Levan.
Faict au Louvre, le Vingt et Unième jour du Quatrième Mois de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf.
Eusaias Blanc Combaz,
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